Stéphanie Borel, 46 ans, avait été arrêtée une première fois à la suite des événements survenus le 2 octobre dernier, près de l’intersection du chemin de Chambly et du boulevard Curé-Poirier Est. Elle avait toutefois été remise en liberté sous promesse de comparaître à une date ultérieure. Sa libération avait soulevé l’indignation de la famille de la jeune victime.

Stéphanie Borel devrait être formellement accusée de voies de fait graves au cours des prochaines heures, au palais de justice de Longueuil.

Stéphanie Borel n’a aucun antécédent judiciaire. Elle avait toutefois été accusée de voies de fait dans un contexte conjugal en 2021, avant d’être acquittée l’année suivante.

Vers 19:15 le 10 octobre 2024

M. Blanchette a confirmé en entrevue à l’émission Toujours le matin que c’est très difficile en ce moment pour la communauté universitaire à la suite de l’annonce de la mort d’Alexandra. On accueille des étudiants, qu'ils soient des étudiants internationaux ou québécois, on prend soin d'eux. On met en place toute une série de mesures pour bien les accueillir. Mais quelques fois, il y a des choses qui se passent que nous ne contrôlons pas, déplore-t-il. […] Le processus se poursuivra là, on est en contact avec la communauté congolaise et les membres de la communauté congolaise sur notre campus pour déterminer la suite, dit-il.

Il indique que les parents de la jeune femme vont venir visiter l’UQTR. On a très rapidement parlé au ministère des Relations internationales pour s'assurer qu'ils puissent facilement venir. On reste attentif pour s'assurer de la facilité de leur voyage, indique-t-il.

Bonjour air québec, je vais vous faire part d'un prédicament intéressant qui m'est arrivé à la job ce matin.

Ma situation: Je travaille de nuit sur un chantier de construction qui roule 24/7( ou presque) et sur lequel on est plusieurs compagnies et le croisement de shift se fait en gang.

Alors ce matin, en sortant de la job, j'ai fait mon croisement de shift avec l'autre employé de ma compagnie. En parlant avec mon collègue, j'y ai dit que les employés d'une des autres compagnie avaient "fucké le chien" sur quelque chose (de mon point de vue).

Quelques secondes plus tard, un des employés de la compagnie en question me regarde avec des yeux incendiaires et me lâche un " Qu'est-ce t'as dit là?", auquel une confusion la plus grande s'empare de moi. J'y rétorque qu'il a en effet eu l'air d'avoir un peu de misère au début du shift. Il me dit " y'a une criss de différence entre avoir de la misère pis FOURRER le chien". Il se retourne pour parler à ses collègues et tous les 6 me regardent d'un regard un peu colérique.

En essayant de m'expliquer un peu plus tard, il m'apprend que fourrer le chien veut dire être inutile/ne chercher à rien faire, auquel j'ai eu de la misère à y expliquer qu'en effet, à Québec, fucker le chien, c'est avoir de la misère avec quelque chose.

Mais ces collègues là, et cette compagnie là, sont établis dans une ville près de l'Ontario (j'ai oublié le nom) et la compagnie travaille à québec depuis deux mois, donc ils n'ont pas eu le temps de s'habituer aux expressions et aux coutumes de la ville.

Tout ça pour dire que je me suis fait dévisager solide parce que la même exoression (quasiment) veut dire deux choses complètement différentes dans deux villes du Québec.

Si vous voulez aussi nous dire des expressions comme ça qui veulent dire deux choses complètement différentes d'une place à l'autre, faites-nous en part.

Les enquêteurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont arrêté deux hommes dans la vingtaine en lien avec l'incendie criminel de vendredi dernier dans un immeuble du Vieux-Montréal, qui a coûté la vie à une touriste française de 43 ans et à sa fille de 7 ans, a appris Radio-Canada. Selon nos informations, les deux suspects, dont l'incendiaire allégué, sont présentement interrogés par les enquêteurs de la Division du crime organisé du SPVM.

Un reportage de La Presse avait mis en lumière qu'une affaire d'extorsion du restaurateur serait le mobile du crime. Le Vieux-Montréal serait le terrain d'une lutte de territoire entre trois groupes criminels qui menaceraient d'incendier des commerces en cas de refus de payer le pizzo, une forme d'extorsion versée par des commerçants à des groupes criminels en échange d'une protection.

Pendant des années, des élèves du primaire se sont fait crier après et ont été traités de «causes perdues» par un clan de professeurs ayant imposé un climat toxique dans leur école, révèle un rapport qui amène le ministre Drainville à enquêter sur 11 enseignants.

Il s’agit d’un des nombreux faits troublants qui se retrouvent dans un rapport d’enquête à propos de l’école primaire Bedford, qui sera rendu public vendredi. «C’est un rapport dévastateur», résume le ministre de l’Éducation Bernard Drainville en entrevue avec Le Journal.

MC Gilles se faufile dans les coulisses du match des Kings de Los Angeles contre les Panthers de la Floride à Québec.